Je suis en manque d'inspiration
J'ai épuisé tous les mots passion
Suis-je entrain de perdre la raison
Au manque de toi dans la déraison


Tes mots font l'amour à mon corps
N'éteignent pas le feu qui le dévore
Au désir de t'aimer encore plus fort
Dans le silence d'une nuit en accord


Où je m'endormirais dans tes bras
Je ne veux plus des matins sans toi
Vivant d'espoirs, l'attente à trépas
Mon âme survie dans mon être froid


Je n'arrive plus à rêver pour poétiser
Mes fantasmes sont fatigués d'aimer
A songer en nos étreintes enflammées
Dans la folie de notre amour passionné


Mélancolie d'amour,  celle qui m'avoue
Les sentiments profonds que je te voue
Pour un toujours, passionnellement fou
Dans un éternel amour pour toi ou nous


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Au si loin que mes souvenirs m'emportent
J'ai toujours aimé la simplicité dans ma vie
Un bouquet de fleurs sauvages, telle la nature
Resplendit au fond de mon âme, le naturel

 
Peu de choses emplissent mon coeur de joies
Renforcè dans la solitude, que peu me suffirait
A condition que tu sois près de moi, tristesse
N'appréciant plus la venue du printemps, solitaire
 
Errer comme une âme en peine, je ne me reconnais
Plus, Ou est passé cette femme qui aimait tant la vie
Comment la trouver belle sans un regard éblouissant
A ma vue, l'indifférence a pris place, je me sens lasse
 
Peu importe les saisons, qu'il pleuve ou non, la grisaille
Lutte quotidienne pour créer un soleil artificiel, d'âmes
En peine, jouer la comédie, je suis mauvais actrice
Un rôle nostalgique d'un autre temps, le rideau tombe
 
  Être heureuse du bonheur des autres, certes oui mais
Amplifie ma mélancolie, avoir de l'amour plein les bras
A ne savoir qu'en faire a en devenir égoïste, recevoir
Pour devenir une femme heureuse enfin revivre
 
copright @CHRYS CK
 
je ne suis pas triste, une simple prise de conscience
 
 

Je m'épanche sur ma page blanche
Cherchant  inspiration, désillusion
J'ai tant à dire, je ne peux l'écrire
Mon âme à la dérobade, j'en larme
 
Où sont partis mes rêves, la fièvre
Je délire, méandre de mes souvenirs
je déambule comme une somnambule
Dans mes songes, mais je me ronge
 
Les coups au coeur, quelle horreur
Je me bats,  me débats, quel tracas
Solitude, turpitude, que c'est ridicule
Consciente, et lutter quelle science
 
 
 
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